« Redonner au bois une seconde vie pour valoriser son héritage »
Les forêts immergées par la construction de barrages hydroélectriques devraient être exploitées localement, en complément de l’offre sylvicole terrestre.
«La situation est incongrue. La filière bois française exporte des grumes mais importe des meubles, souvent en provenance de pays tropicaux présentant un risque élevé de déforestation (1). Avec une forêt dont la surface est en progression depuis plus d’un siècle et représente 31 % du territoire métropolitain (contre 19 % en 1908 (2), il appartient à la filière française de circonscrire cette situation qui engendre un déficit commercial conséquent. Celui-ci a été établi à 8,6 milliards d’euros en 2022.
Vous avez lu 1% de l'article